Mercredi 16 janvier
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18:13
Film érotique de Shinji Imaoka.
Une comédie musicale érotique japonaise, avec Christopher Doyle à la photographie.
(2011, 1h24mn)
Avec : Sawa Masaki (Asuka Kawaguchi), Yoshiro Umezawa (Tetsuya Aoki), Ai Narita (Reiko Shima), Mutsuo Yoshioka (Hajime Taki)
Alors qu’elle circule en voiture près de l’usine de poisson que dirige son fiancé et où elle-même travaille, Asuka voit surgir sur la route un
étrange personnage qui la force à s’arrêter : il s’agit d’Aoki, un ancien camarade de classe mort noyé dans un marais à l’époque du lycée. Aoki s’est réincarné en kappa, une créature mi-homme,
mi-tortue issue du folklore japonais. Il a besoin de rester humide en permanence et raffole des concombres, et il est de retour dans la vie d’Asuka pour la séduire. Alors qu'elle est a quelques
jours de son mariage, elle décide de l'héberger chez elle...
Par Ninja faeniel
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Mercredi 16 janvier
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18:04
Film érotique de Kota Yoshida (2010)
L'histoire : Une masseuse, excitée
par l'odeur de la sueur d'un lycéen âgé de dix-sept ans qu'elle croise peu de temps après son cours de kendo, entretient avec lui une relation peu commune...
En évoquant avec subtilité une histoire d'amour que la société ne peut que condamner, du fait de la différence d'âge entre ses protagonistes et l'aspect
pervers attribué à cette attirance peu commune, charnelle au possible avant d'être renforcé par l'émotionnel. Une romance touchante, qui défie les conventions et s'intéresse au corps comme
à l'esprit : en acceptant leur sexualité, malgré l'incompréhension d'une société policée, les héros finissent par se découvrir eux-mêmes et gagner leur liberté.
Par Ninja faeniel
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Publié dans : Films érotiques
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Mercredi 16 janvier
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17:59
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Date de sortie inconnue (1h 17min)
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Réalisé par Noboru Tanaka
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Avec Junko Miyashita, Renji Ishibashi, Tokuko Watanabe
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Genre érotique, bondage, voyeur
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Nationalité Japonais
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couleur
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long métrage
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année de production 1976
Les residents d'une pension bourgeoise se livrent a toutes sortes de jeux sexuels. Godha, voyeur solitaire cache dans le grenier, les observe et de temps en
temps en empoisonne un en versant de la morphine dans sa tasse a travers le trou du grenier.
Dès les premiers instants, avant même le générique, La Maison des perversités affiche cette idée passionnante de nous offrir le point de vue d’un
étrange voyeur qui observe les ébats des clients d’un hôtel, pour le moins bizarres. Après un regard caméra, il n’est plus de doute possible : le spectateur et le voyeur ne font
qu’un.
Par Ninja faeniel
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Publié dans : Films érotiques
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